Le dernier rouage
Le brouillard du matin noyait les rues de Londres dans une épaisse brume, et l’horloger marchait légèrement poésie son atelier, son journal roulé sous le bras. Chaque nuit, la montre à gousset lui envoyait un message, et tout matin, la vie s’alignait sur ces présages funestes. Le nom des victimes changeait, mais le plan restait le même.